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L’avantage de l’École des Managers, c’est que c’est une formation concrète.
Baptiste, en #Montée en compétences, s’apprête à devenir responsable d’activité au sein de la société Euroconcep. Il revient avec nous sur son expérience à l’École des Managers d’Annecy.
Mon parcours est technique, suivi d’une formation commerciale. Je suis actuellement en poste dans une société, dans laquelle je vais évoluer au poste responsable d’activité. L’idée de l’École des Managers pour moi, c’est m’améliorer sur les points financiers, RH et management, que je n’ai pas forcément étudiés dans mon parcours scolaire. En entreprise, on apprend sur le terrain, mais c’est important d’avoir quelques bases.
Notre service RH était en charge de trouver la formation. Initialement, on n’a pas forcément pensé à la CCI et donc l’École des Managers en tant que formation. Car sans avoir mis un premier pied au sein de la CCI, on n’a pas forcément conscience du panel d’opportunités proposées.
J’avais déjà postulé dans une école à Grenoble, pour du management global. J’étais inscrit et avais passé le concours d’entrée, mais ils ont reporté la session, faute de candidats. Or, par rapport à mon timing personnel et professionnel, il fallait que j’engage la formation cette année. Je me suis donc tourné vers l’École des Managers, et je ne regrette pas.
L’École des Managers présentait l’ensemble des profils des anciens participants, très différents du miens. La variété des métiers m’a fait un peu hésiter. Je craignais que les problématiques ne soient pas les mêmes. On ne fonctionne pas de la même manière quand on a un service RH et quand on a cinq employés.
Mais le rendez-vous avec Céline (responsable École des Managers) m’a rassuré, elle m’a présenté plein de contre-exemples et le programme m’a paru bien structuré.
L’avantage de l’École des Managers est que c’est une formation concrète. Une formation « pratico-pratique », comme ils disent. Et à 40 ans je n’ai plus le temps d’aller étudier des LV2. Les intervenants sont déjà dans le monde du travail et ils ont déjà des entreprises. La formation répond à des problèmes concrets. Je m’y retrouve, et je sens déjà que je progresse.